Handicap-et-vie

La vie d'un jeune OVNI

Lundi 9 mai 2011 à 22:16



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J'aime tes valeurs,
Ta chaleur et tes bras,
Tu me rassures pile à l'heure,
Recouvrant mon aura, de ta voix douce et rassurante,
J'adhère à ta vie,
Comme un fantôme sain d'esprit,
Je te preserve de mes erreurs,
Le passé fut jonché d'un génocide,
L'hémoglobine à trop coulé, je suis las,
A présent chercher mon coeur sauvage,
Tu lui apprends lentement les secrets,
Qui bientôt vont le ramener près du vaisseau,
Celui dont tu rêves, l'imagé virtuel,
Survolant par delà les nuages,
Impliquant le plus beau des rivages,
Ma cage de verre qui n'est jamais fermée,
J'y vais simplement me rassurer,
Etoile chaude et sage,
Filante ou feu d'artifice,
Mon amour, mon ange, mon être chaotique,
je t'aime, je t'aime, je t'aime,
Mon âme s'ouvre tous les jours,
Laissant place au puzzle,
Dont ta main assemble chaque pièce,
J'arrive, je suis à toi doucement,
Je succombe à ton être,
Mon doux sorcier du mal,
Image rêvée d'une alliance perfide,
Nous jouons ensemble sur les dédales risquées,
D'un chemin que nous ouvrons chaque seconde,
Viens à moi par mon monde entier,
Explore mes fleurs délicates et vénéneuses,
Passe sur mes tombes et mes berceaux,
Caresse le coeur de mon écoute,
Bois ma douceur exquise,
Empoigne mes démons et apporte-les,
Au centre de ma bulle pour les apprivoiser,
Unissons nous sensiblement sur l'Onde,
Partageons encore longtemps,
Au creux d'une lumière et d'une ombre.


A mon amoureux.

Lundi 9 mai 2011 à 15:10

Bon ben ça va j'ai compris: ça fait 5 ans que je tombe sur la même chose après les tests de personnalité: je suis Social et Artiste.

Jusque là ça va... J'ai fais une année de MANAA mais je ne peux pas continuer à cause de ma santé et ça me roooonge! Je veux juste dire que je ne regrette pas mon année, j'ai bien évoluée depuis son début.
En ce qui concerne le social est ce que... des études de commerce ça marche?....

Toujours est il qu'il reste à trouver un métier adapté à cela...

Ha oui j'oubliais, je suis apparament aussi réaliste (pragmatique, simple, équilibré et travaille généralement avec efficacité.).... mdr?

Franchement si c'est moi ça je trouve que ça à la classe un pti gar qui aime le social et l'artistique tout en ayant de la structure.


Bon ben... Toujours le même problème... La pression pour trouver du travail ok... Moi je voudrais bien continuer mes études mais dans quoi? je veux pas faire n'importe quoi, je veux faire quelque chose de peu fatiguant pour me protéger l'organisme et qui me corresponde.

J'ai bien pensé aux cours par http://grincheux.info/wp-content/uploads/2008/05/anpe.gifcorrespondance, aux associations et à aller voir un psy, mais je suis vraiment over dans tout ça, submergée par cette presque palpable tension du quotidient. L'année dernière je savais ce que je voulais faire dur comme fer, une vraie tête de mule, là je dois digérer de devoir arrêter mon petit rêve, et puis trouver du travail par pression de mon entourage. Franchement c'est si grave? Je suis paumée, une chose après l'autre s'il vous plait. J'ai bien avancée, je voudrais du repos maintenant (vu que mes vacances en général sont comment dire... pitoyables et non réparatrices).




Dimanche 8 mai 2011 à 14:39

http://handicap-et-vie.cowblog.fr/images/NanaOnoiretblanc.gif



Après trois semaines sans dessiner j'ai recommencé hier soir, avec une fraise et une fleur de sauge.

Je continue aujourd'hui avec une japonaise en kimono et un arôme en ayant l'impression d'avoir gagné en technique, en assurance, en ayant effectivement mon propre univers et sans m'en rendre compte, ma façon de dessiner. Mais ce n'est pas reluisant, on sent les problèmes de proportion et l'inachèvement du travail.

Parfois je regarde les blogs, ce qui se fait, je regarde les dessins des autres, les univers musicaux et je repense à avant. J'ai l'impression d'être vieille. J'ai 23 ans. J'ai l'impression d'avoir vécue avec passion certaines choses mais de ne pas être allée au bout car je regarde celle des autres... celles qui ressemblent aux miennes d'avant. Et qui ne veulent pas se finir. Suis-je condamnée à errer sans but, sur cette pierre de jade? Sur mes vieilles idées inachevées. Que faire de ma vie? Rien pour l'instant, je ne veux rien faire. Je ne sais déjà plus rêver à mon avenir. Les souvenirs pourrissants s'emmêlent et je meurs, je me ronge en moi, je suffoque comme un nouveau née vieillard. Sur la croûte de ma vie actuelle, j'y appose quelques onguents pour apaiser la douleur et l'absence.

J'ai laissé des amis,j'en ai perdu et je suis pitoyable. Je me déteste ainsi, je ne veux plus être comme ça. Je ne me complais plus dans le noir, le noir est en moi mais aussi la lumière, je veux juste qu'on me laisse faire mes choix, et qu'on e laisse glander un peu, pour reprendre mon souffle. Que dis-je? Glander? j'en serais bien malheureuse. Non... Avancer à mon rythme, plus à celui de cette infernale de vie et des ordres que j'entends, et du monde qui va mal, je ne veux pas pourrir comme lui. Je ne pourrais pas l'aider si je pourris. J'avais dis que j'aiderai Gaïa en écrivant. Mes amours, mon livre, il est mort, en stand by, mes acteurs sont au point mort, là, sous les planches, ils jouent au cartes en m'attendant.

S'il existe un dieu, je voudrais lui parler. Je voudrais lui dire tellement de choses, de l'amour j'ai tant d'amour à donner, un amour irrecevable, un amour à des personnes passées de l'autre coté. Je voudrais lui dire la rage que j'ai, je voudrais lui dire l'injustice d'ici bas et ma volonté d'y remédier mais mon incompétence. L'amour....
Mon amour m'a dit de ne pas penser "combat". Alors j'avance? Je peux dire ainsi pour aller mieux?

Un peu de vie. C'est comme sur le catalogue. Quand on voit la potion elle est bleue et transparente, pure et divine. Lorsqu'on l'a bu le goût amer et la rage sur nos lèvres nous fais vomir l'enfance et on avance. Les effets indésirables ne figurent pas sur la notice, beaucoup en meurent, beaucoup en jouissent.








Dimanche 17 avril 2011 à 13:26

J'ai beaucoup de choses à vous dire, j'ai très envie de partager. Ensemble, de me déverser dans cet océan de vide... ces temps ci je suis vide. Nous en reparlerons plus tard, car aujourd'hui, maintenant, en courant sur ces lignes comme forest gump sur le sol caillouteux, je vais vous chanter ce qui me fait vivre: écrire. A ceci est associé la musique, ma plus grande amie de travail. L'écriture: mon travail, ma vie, mon arme, mon dé fouloir, ma substance, ma raison de hurler comme au premier jour de ma vie, sortant à peine du ventre de la mère, je vie en soufflant hors de mes poumons tous les différents aspects de la vie.

 

Plus jeune, il m'est arrivée durant une année scolaire entière de passer tout mon temps libre, porte close dans ma chambre, à écrire, écrire, écrire, le papier pour support, mon imagination pour matière et mon stylo noir pilot pointe douce pour meilleur et seul ami.

J'étais bien et passionnée, obsessionnelle et brulante. Je brulais tout au tour de moi peu à peu, cela à commencé avec un travail régulier, vers mes douze ans. Ou dans mes neurones se faufilaient le début d'une histoire liquide et agréable, raccordés de fils dénudés, reste de final fantasy et des livres que j'avais lu. Ce n'est que plus tard, vers 15 ans, que j'écrivais tout le jour dans ma chambre, le soleil voulant passer à travers les volets de bois bleu, je lui refusais l'entrée. Et peu à peu ma main s'est affinée tout comme mon esprit, me plongeant dans le spleen et la noirceur, je créais mes premiers vampires, ma première histoire d'amour improbable. Mes premiers bébés, mes meilleurs amis, toujours là, l'univers se créait, puis changeait lentement.

 

Il m'est arrivée bon nombre de fois de réécrire mes premières trente pages, ça ne me plaisait pas, j'ai recommencé, tous les jours, jusqu'à essayer d'obtenir quelque chose de satisfaisant. Ma meilleure amie humaine me lisait, à coté de moi, en écoutant Mozart, impatiente et pendue au bout de mon écriture. Je me souviens encore de ma plus belle scène... Je l'ai su, lorsque je l'écrivais, et lorsqu'elle à aimé. Je crois que la plus belle chose après celle d'écrire, c'est que l'autre apprécie, vibre, frissonne, pleure et soit secoué.

 

J'ai cessé cette histoire pour me consacrer à mon premier blog puis au jeux de rôles en ligne, j'ai beaucoup écris, j'avais 19 ans. Premier véritable amour virtuel, premiers émois, première douleurs lancinante pour faire naitre des idées: le suicide, le moi visqueux se matérialisant, ma moitié morte me manquait.

J'ai crée un nouveau personnage sans véritable ambition, un nouveau moi. J'écrivais pour la faire vivre, petite chose innocente et douce, petite folle au cœur non protégé. Belle performance d'esprit, car l'amour et la liberté sont venu me voir, nous avons beaucoup parlés ensemble, je crois que je n'oublierais pas cette époque. J'ai rencontré des hommes différents, celui qui rassemblait ces choses de liberté et d'amour me fascinait beaucoup mais je crois qu'a l'époque j'étais seulement sur la théorie, je ne mettais pas en pratique, je n'y parvenais pas. Il à fait un livre, deux même, l'a publié. Je crois même avouer qu'il m'a fait une place sur son blog, même si celle ci n'existe plus... Et son vide me brise. Les valeurs qu'il portait avec amour ne me laissaient pas indifférente, au point même de rendre jaloux mon premier amour. Je ne regrette pas. Même si mon amour s'est brisé en morceaux, ma secouée comme jamais, et m'a laissée blanche et flasque sur le sol sec et rocailleux d'un désert d'esprit de déchéance, je ne regrette pas.

 

J'ai relié deux livres, un remplis de mes textes, un de mes poèmes mais je n'ai jamais encore cherché à les publier, je les ai fais lire à des amis qui m'ont trouvé un petit don à travailler.

J'en suis encore satisfaite, je ne peux pas dire fière. Ensuite j'ai moins écris, puis j'ai arrêté pour me consacrer au dessin, j'ai fais une année d'étude en art pour tenter d'aboutir à un rêve qui est en train de pourrir au fond de mon crâne en cet instant. Au cours de cette année j'ai recommencé à écrire sur les royaumes renaissant, le jeux de rôle en ligne qui m'a permis de continuer à travailler cette compétence d'écriture, mais le nouveau personnage que j'ai créé est emprunt de liberté, tout comme moi, sauvage et imprévisible, difficile à attraper, incomplet, volatile comme un parfum puissant qui s élève lentement dans la pièce... Puis disparaît, pour renaître quelques temps plus tard. Mes écrits sur ce personnages était comme une fronde vrillant sur les crânes ensanglantés, comme avant mais en plus violent et fin, une nouvelle vision de la vie, domptée de mon expérience. Je lacérais ce clavier de mots pleuvant comme des flèches vivaces, s'enfonçant profondément dans le cœur de mes lecteurs jouissant, m'en demandant encore et finissant par me gronder lorsque je n'écrivais plus.

 

J'ai décidé avec ce blog, d'écrire d'avantage, de ne pas laisser tomber mon travail. Pour tenter de renaître encore, et d'aboutir à un level au dessus, j'y arriverais, je serais fière de vous avoir fait vibrer au rythme de mes mots.





http://leschroniquesdelaurence.files.wordpress.com/2010/12/ecrire.jpg

Mercredi 13 avril 2011 à 11:20




 
http://www.imaginoscope.net/junolips/pelic.png






Un clip qui voudrait sortir mais qui reste dans son cocon, enlaçant de fatalité.
Le refrain me fait toujours penser à un homme droit ayant perdu sa fierté,


dont ses frères loups l'attendent, la Meute l'appelant pour être au complet.


Cette nuit, chaque fois que je réveillais,


j'entendais la même musique qui me poursuivait.


Découvert sur Nolife, la chaîne des geek et des otakus,


voici Juno Lips par Erose.
Un clip mélancolique qui colle au cerveau.






Cliquez ICI
, si vous ne pouvez pas lire la vidéo,

pour faute de ne pas avoir le bon plugin,

et de ne même pas savoir lequel est approprié,

afin de mettre les videos directement sur les articles  :s

Note: à droite, les membres du groupe.


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